Mon oeil comme guide #1

Publié le par Run

Mon oeil comme guide #1
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Mon oeil comme guide #1

1. On trouve encore des petits commerces sur des niches bien particulières, ici les corsets, une commande à passer? 2. A NYC, y'a un malade qui avait un vtt tout pourri et une mob rouillée mais dont le moteur tournait encore; le gars s'est dit "tiens je vais le souder sur mon vtt"; et voilà 3. graph' mural sur la high line qui est à l'ouest de Manhattan 4. Pin's et slogans à coudre pour affirmer son identité 5. Scène de nuit près de Times square 6. Le graffeur n'avait pas l'estomac dans les talons

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F
Ta plume est aussi aiguisée que tes prises de vue. Piger le cliché n’est chose aisée, mais tu le fais à merveille....
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D
Super photo, comme d'hab. J4adore le dernier graph, y'a plein de choses là dedans !! Belle découverte !<br /> Enjoy. Pour les corsets, oublie, on a tous des ventre plats !
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E
L’arrivée à New York est toujours un choc. Nous sommes encore dans l’avion, de jour ou mieux encore, de nuit, que la vision de cette ville répond à toutes nos espérances et appelle en nous des milliers d’images et des milliers de références, c’est la ville je crois la plus connotée de la terre ! Un peu comme si inconsciemment nous arrivions dans un endroit que nous avons déjà connu. La littérature, les films nous ont imprégné de New York, on sait Brooklyn Time square, Chinatown, et tous ces noms quasiment avant d’y être allé, ces quartiers qui rencontrent parfaitement notre imaginaire; c’est ce qu’il a de magnifique à New York la familiarité mais aussi l’étrangeté de se retrouver dans une image qui est déjà dans notre tête. Vous avez bien de la chance, les promenades sur les ponts sont merveilleuses, certains entendent la musique de Gerschwin, d’autres celle qui leur convient, mais c’est une ville musicale. Lorsque je vois la photo du pont vu de votre appartement, je suis persuadée d’avoir été sur ce pont, un jour de froid, gris et venteux, à regarder très attentivement, avec le nez qui coule et les yeux glacés, les immeubles qui bordaient l’East river, à me demander comment les gens vivent avec une vue si splendide, vue dont on ne doit jamais se lasser. Bon je commence à être longue !<br /> Bises !
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